Les membres de Goudes Plus s’associent à la douleur des familles des victimes de la Rue Tivoli et à la souffrance des délogés.
Toutes nos pensées vont aux disparus
Anne-Marie, Jacques, Antonietta, Jacky, Anna, Marion, Michaël et Nicole
A la une
GoudesPlus : le Magazine par les rhénés du Motchus, pour les rhénés du Motchus
En plein cagnard
Société
ils nous ont quittés
Goût de Plus
Mémé des goudes
Le dico des Goudes
Rencontre avec Garrimini, ou la dure vie d’un joueur de Motchus
Je sursaute, je dormais si bien et voilà qu’un couillon me secoue pour me réveiller. Qué toti !
– Wofan mais diiiiiis, t’es pas bien toi. Pourquoi tu me réveilles espèce de fadoli que tu es ? Tia vu l’heure un peu ? Et puis d’où tu sors ?
Goudes Bike, les Nines
Comme souvent, l’inspiration naît de l’échec, alors après un misérable 5/6 sur un motchus du vendredi, je m’invitai moi-même à aller me jeter aux Goudes. Mais pas n’importe comment …
Le chat des Goudes
Longtemps, je n’ai pas eu de nom. Personne n’avait jugé utile de m’en donner un. Parfois, à l’appart où je vivais, dans une cité de Marseille à mauvaise réputation, des types de passage disaient en me voyant : « tè, vé la savonnette »
Bienvenue à la Case Anis Goudéenne
Installée à l’entrée des Goudes depuis quelques semaines, cette caravane a attiré l‘attention de nos reporters : nous sommes donc allés sous le auvent de la caravane pour tenter de percer ce…
I feel Goudes
Alors, Gari, toi aussi, tu en as ras le fly de prendre le 19 tous les matins et tous les soirs ? Toi aussi tu te dis que laisser la moitié de ton salaire en carte de transport, c’est comme écouter du Jul : ca va bien 5 minutes… Toi aussi, depuis que tu as vu que Bernard avait installé sa caravane, tu veux t’installer aux Goudes ? Voilà comment bien faire les choses !
Les deux gabians
Un gabian vivait en paix une cagole survint, Et voilà l'engatse allumée, Qui ne fera que s'envenimer. Depuis toujours elle se maintient. La gent toujours à l'agachon accourut. Le boucan tape sur le teston du voisinage, Mais pressée de voir voler du plumage, La foule...
Adieu Eric Schulthess
MARSEILLE La famille Schulthess a la malparade de vous faire part du décès d’...
Retour sur la conférence Motchus de Mederic Gasquet Cyrus
Retour sur la conférence Motchus de MédéVa jouer ah...Mardi soir s’est tenue à...
La vraie soupe d’esques à la marseillaise
Ah la soupe d'Esques… Il y a toujours quelqu'un, à un moment de notre vie, qui...
Les Mots Croisés de GoudesPlus
Va jouer à Motchus, ha…
Alors, vous l’avez fait votre Motchus ?
L’humeur mauvaise de Tatchie
Vous connaissez le jeu MOTCHUS qui réveille, ou endort, les marseillais tous les jours ? Oui à Marseille, tout le monde connaît.
Vous connaissez le jeu MOTCHUS, vous qui n’êtes pas de Marseille ? Non bien sûr, alors je vous l’explique : vous prenez le MO-MO-MO-MOTUS de Thierry Beccaro et vous n’y mettez dedans que des mots marseillais, généralement issus du provençal, de l’italien, de l’arabe, des Accates Nord ou de tambouilles familiales transgénérationnelles. A Marseille, on y ajoute un CH après le T parce que tout le monde sait qu’ici, on ne prononce pas Valentine mais Valentchine ou pas Martine mais Martchine. Et donc pas Motus mais Motchus.
Vous connaissez donc maintenant tous le jeu Motchus, qui se joue généralement sur téléphone, à côté de son bol de céréales ou dans son lit avant d’aller dormir, le devoir accompli. J’en avais déjà précisé l’engouement lors d’une précédente chronique où le fondateur, himself, s’était laissé aller à quelques insultes lors d’un match de hockey qui opposait les Spartiates de Marseille à Nantes, au milieu desquelles : « Eh va jouer à Motchus, ha… ».
Motchus, un jeu sur téléphone donc, où il n’y a nibes à gagner et donc nibes à perde. A part peut-être sa dignité, et c’est bien là l’objet du propos…
Qui sommes-nous ?
GoudesPlus est née d’un délire collectif sur Twitter : à force de renchérir de commentaires sur nos grilles Motchus respectives, nous en sommes arrivés à monter un titre dédié à ce qui est devenu une tradition : aller se jeter au Goudes si on foire sa grille.
De l’avenir de cette parution, il est difficile d’en parler : profitons du moment !
Viens !
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